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Le terme « manga » est constitué de deux idéogrammes ( ou Kanji ) : « man », qui signifie, d’après le contexte, l’imprécision ou la légèreté, et « ga » qui désigne la représentation graphique. On peut à ce titre fricasser « manga » par « croquis au degré pratique » ou bien épure à la discrétion de la apologue ». On rencontre aussi la translation par « images menus », qui est plus péjorative. Hokusai ( 1760-1849 ) est le premier à avoir utilisé ce terme pour spécifier ses catalogues de croquis et de pochade. à l’heure actuelle, au japon, le terme est employé pour désigner les bandes dessinées quelle que soit leur origine géographique.Les mangas de types shonen sont de très loin beaucoup appréciés, ils sont qui a pour destin aux hommes jeunes encore adolescents essentiellement. Mais, le shonen compte aussi pour adepte des jeunes femme et plus vieux des deux sexes. Le genre est marqué par la présence d’un héros charismatique, hors du commun. Il decrit tous les sujets, toutefois on peut trouver le plus souvent des œuvres dans le domaine de l’aventure, de la prévision et du sport. si vous connaissez mario, One-piece, Dragon-ball Z, ou encore Fairy-tail, c’est que vous possedez déjà eu à lire ou regarder un shonen.Les apparitions timides du manga dans la presse japonaise vont très considérablement approfondir sous l’impulsion du boum de la presse caricaturiste anglaise. Parmi les grosses physionomie de la esquisse qui vont jouer un rôle important sur le manga japonais, citons Charles Wingman. Arrivé à Yokohama en 1861, il va entraîner le journal médisant The Japan Punch et enseigne les techniques européennes d’imagerie aux Japonais. Le cartoonist français Georges Ferdinand Bigot effectue aussi le chemin et crée la magazines médisant, Tôbaé. Les bases du manga son posées. Elles seront certes consolidées dès lors que Yasuji Kitazawa, qui prendra par la suite le titre de Rakuten Kitazawa, rejoint le journal Jiji Shinpō et qualifie ses dessins humoristiques de manga. Nous sommes en 1902 et le premier mangaka ( créatrice de mangas ) officiel à vu le jour. A partir de cette journée là, Kitazawa ne va interrompre de conçevoir le manga à travers les multiples détail qu’il crée ou que il collabore : marseille galet, Furendo, Kodomo no tomo. Censuré puis utilisé à des fins de endoctrinement, le manga s’impose moelleux puisque un véritable expansions d’expression.Cat’s Eye est l’une des premières grosses films de Tsukasa Hôjô, avant City Hunter ( Nicky Larson ) puis household Compo ou Angel Heart. Écrivant déjà les lignes de ce qui sera le féminin de l’auteur, l’histoire met en ring un cadre classique sans effets spéciaux ou évènements mystiques. La activité de Cat’s Eye repose sur son complot passionnante dans un jeu du chat et de la souris, en définitive très bonhomme. Mais le contrôle de Hôjô sur la fabrication des petits personnages et le rythme toujours frais ont escroqué l’attention des lecteurs, dans une cadre très marquée par les années 1980. Le mangaka affinera son féminin en même temps de son histoire, sans jamais rétrocéder cette œuvre référencielle.Elevée à la bande-dessinée franco-belge, la France a une certaine ennui à prendre le contour du manga. Au départ des années 70, c’est dans le magazine spécialisé sur le querelle Budo Magazine Europe qu’il faut d’aller pour dénicher de courtes spectacle de manga traduites. Le fanzine Cri qui tue fait aussi la part belle au manga en prédisant notamment Golgo 13. L’un des premiers déclics vient du succès de l’animé Candy qui permettra des éditeurs a étendre le manga et à le publier. Succès mitigé ! Les années 80 seront une succession de tentatives de avancée du manga en France, mais vainement et cela malgré la vie de Mangazone, le premier bande dessinée d’information sur la bd japonaise.La dernière certaine catégorie concerne les Seinen. Destiné à un public plus âgé et plutôt nautique, on y aborde des termes beaucoup plus mauvaises, la pollution, cet guerre, la entreprise et tout ce que cela entraine, dystopies, éloignement, etc. On y traite mieux des dérives des outils existants, de la technologie, de la technique, de la charte et on ne rechigne pas à abîmer le sexe, la agression et le hard, ou à pousser l’écho au plus loin pour faire avancer l’histoire et tenir le lecteur en dans la durée. C’est aussi l’une des causes renseignant que les styles graphismes sont le plus souvent nettement plus proches de du photo-réalisme et qu’on ne rechigne pas à exposer énormément les colères, les scènes gore, et les acteurs.
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